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Planche à découper en bois de mélèze

Prix régulier CHF 109.00

Prix unitaire par 

Taille

matériel

options de finition

Embellissez votre maison avec nos produits.

  • Planche à découper en mélèze
  • Disponible en différentes dimensions
  • Traitement de surface alimentaire
  • Avec poignées en standard
  • 100% bois suisse / 100% Swiss Made
  • Autres tailles/options sur demande
  • Comment entretenir le bois massif ?

Puisqu’il s’agit d’un produit naturel, le grain et le motif du produit final diffèrent.

Fabriqué à partir de bois suisse par nos soins dans notre atelier.

Qu'est-ce que le grain de bout (ou grain de bout) ?
Les planches à découper à grains de bout sont fabriquées à partir de morceaux de bois d'extrémité. Elle présente généralement un motif en damier, qui est la principale caractéristique par laquelle vous pouvez déterminer qu'il s'agit d'une planche à découper à grain final. Bien que ce type de planche à découper en bois soit un peu plus cher, certaines personnes la considèrent comme précieuse car elle est meilleure pour les couteaux. Les planches à découper en bois de bout ont un « facteur d'auto-guérison » car les fibres se referment après avoir été coupées par le couteau.

Nous utilisons un vernis à l'huile de lin alimentaire pour traiter nos produits.
L’utilisation de l’huile de lin présente de nombreux avantages, et en voici quelques-uns :

  • L'huile améliore la couleur du bois et met en valeur le grain, donnant au bois un aspect plus texturé.
  • Il est non toxique et donc très écologique
  • Empêche le bois de se fissurer car il empêche le bois de se dessécher
  • Cela aide à couvrir certaines rayures
  • L'huile pénètre profondément dans le bois et forme une bonne barrière protectrice contre les éléments.

Le mélèze : 5 faits à savoir sur le mélèze :

  • En automne, les aiguilles du mélèze changent. Le mélèze ou Larix decidua, comme l'épicéa, le cèdre, le pin et le sapin, appartient à la famille des pins. Mais contrairement à la plupart des conifères, qui conservent leurs belles aiguilles vertes tout au long de l’hiver, le mélèze devient doré puis rouge à l’automne. Cet arbre est aussi le seul conifère à feuilles caduques d'Europe : il perd ses aiguilles mais conserve ses cônes, qui sont sa seule forme décorative en hiver. Les cônes restent longtemps sur les branches, et il n'est pas rare de voir en même temps les cônes de l'année en cours et ceux de l'année précédente.
  • On le trouve principalement dans les Alpes du Sud.
    Le mélèze est un conifère présent principalement dans les Alpes du Sud.
    Cet arbre, qui aime avoir ses racines au frais et sa cime au soleil, pousse dans les montagnes qui bénéficient d'environ 300 jours de soleil par an.
    Dans ces conditions, il peut atteindre une hauteur de 2400 mètres et jusqu'à 40 mètres. Avant de perdre ses aiguilles et de passer l’hiver sans feuilles, les forêts de mélèzes prennent des couleurs vives. Cela se voit clairement en Engadine.
    Ce spectacle éphémère fait le bonheur de tous les photographes et amoureux du paysage.
  • Le mélèze se rencontre souvent avec d'autres conifères.
    En montagne, le mélèze côtoie souvent d'autres conifères :
    - Pin sylvestre en dessous de 400 m
    - Pin parasol / Pin parasol cembro au dessus de 2000 m.
  • Le bois de mélèze est très apprécié.
    Le mélèze perd non seulement ses aiguilles et offre des couleurs automnales spectaculaires, mais il est également très apprécié pour son bois. Le mélèze fournit en effet un bois de grande qualité. En raison d’un processus de croissance lent, il est très dur et résistant à la pourriture. Dans les Alpes, ce type de bois est souvent utilisé pour construire des maisons et des chalets.
    À propos : d’autres utilisations étonnantes de cet arbre incluent la fabrication de liqueur en trempant ses fleurs et ses jeunes cônes dans de l’alcool.
  • Le principal ennemi du mélèze est une petite chenille.
    Tous les 8 ans environ, le mélèze peut être attaqué par une petite espèce de chenille, la tordeuse des bourgeons du mélèze. Comme cette chenille se nourrit des aiguilles, le mélèze se défend en arrêtant l'écoulement de la sève. L'arbre perd alors ses aiguilles et semble mourir. Mais ce désaiguilletage, même complet, n’entraîne pas la mort de l’arbre. Il s'agit simplement d'un mécanisme de défense : le mélèze se protège de cet insecte vorace avant de former de nouvelles pousses l'année suivante.

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